Monsieur TANOH NIAMKE Djohn
Diplomate, Laïc
Consacré et Missionnaire Chrétien,
Président de
l’ONG La Coreci
04 BP1514
ABIDJAN 04
Telephone: 56 12 50
40/06312823
Abidjan, le
09 janvier
2015
Lettre Ouverte
A
Son Excellence Monsieur HAMED BAKAYOKO
Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur
et de la Sécurité
ABIDJAN
OBJET :
1- COTE D’IVOIRE,
La guerre des francs maçons contre les Chrétiens doit rapidement cesser en ce
mois de janvier 2015, sinon…
2- Demande de votre arbitrage en vue d’obliger, par toutes
les voies de Droit, Mon ancien Employeur, le Conseil de l’Entente à me payer la
somme de Cent quatre millions cent trente quatre mille quatre vingt quinze
francs(104.134.095 FCFA) représentant mon pécule de départ, les cotisations
patronales pour ma pension retraite, mes indemnités de départ pour fin de
détachement, les pénalités de douze ans de retard de paiement, les réparations,
les dédommagements des préjudices et humiliations subis.
Monsieur Le
Ministre d’Etat,
Par la présente requête, j’ai l’honneur de solliciter votre
arbitrage en vue de me rétablir dans mes droits pour le montant sus visé, dans
l’affaire qui m’oppose à mon ancien Employeur, Le Fonds d’Entraide et de Garantie
des Emprunts du Conseil de l’Entente, en abrégé, Le FEGECE/Conseil de
l’Entente.
De quoi s’agit-il dans
cette affaire « TANOH NIAMKE Djohn contre le FEGECE/Conseil de l’Entente
représenté par Messieurs Patrice KOUAME, ISSOUFFOU ISSA et René KPOMALEGNI,
Respectivement, Secrétaire Exécutif du Conseil de l’Entente, Secrétaire
Exécutif Adjoint du Conseil de l’Entente et Liquidateur du FEGECE/Conseil de
l’Entente ? »
Premier
argument :
Diplomate ivoirien, j’ai été détaché en qualité de Chargé de
Mission, pour une période de cinq(05) années, au Fonds d’Entraide et de
Garantie des Emprunts du Conseil de l’Entente (FEGECE/Conseil de l’Entente).
Les conditions, la période et la durée de mon détachement sont précisées par
l’arrêté ministériel dont copie est ci-jointe à la présente requête :
Début de mon détachement= Le 01 Janvier 1997
Fin de mon détachement= Le 06 Janvier 2002
Mon Salaire brut mensuel= 1.276 219 FCFA (Voir copie bulletin
de salaire en pièce jointe).
Deuxième argument :
Pendant les cinq(05) années de mon détachement au
FEGECE/Conseil de l’Entente, mon employeur dans sa comptabilité interne, a
régulièrement et mensuellement, prélevé sur mes salaires une cotisation
complémentaire de retraite appelée « Pécule de départ », à me
reverser, et qui s’élevait, à la date du 06 janvier 2002, à un montant total de
Cinq millions six cent neuf mille neuf cent quatre vingt neuf francs (5.604 989
FCFA) : Voir les pièces jointes.
Troisième argument :
·
Selon
les dispositions de la Décision ministérielle de mon détachement au
FEGECE/Conseil de l’Entente, et à la fin de cette période, mon ancien employeur
aurait du me reverser, un montant de douze pour cent (12%) de contribution
patronale pour ma pension de retraite, au cours des cinq années, soit une somme
totale de neuf millions cent quatre vingt huit mille sept cent soixante seize
francs (9.188 776 FCFA) :
·
Voici
le calcul= 1.276 219 FCFA/mois à multiplier par 60 mois à multiplier par douze.
Et le total à diviser par 100. Ce qui donne bien un montant total de 9.188 776
FCFA de part patronale de cinq années, pour ma pension de retraite que mon
ex-employeur le FEGECE/Conseil de l’Entente aurait du me payer depuis la date
du 06 Janvier 2002.
Quatrième argument :
Il est établi par coutume, par usage
et par droit qu’une indemnité forfaitaire, de deux mois de salaire par année
d’ancienneté, à multiplier par mes cinq années de détachement, aurait du m’être
payé, à la date du 06 Janvier 2002, par mon Ex-Employeur, soit un montant total
de douze millions sept cent soixante deux mille cent quatre vingt dix francs (12.762
190 FCFA).
Cinquième argument et Conclusion
partielle :
Monsieur Le Ministre d’Etat,
Il est important de noter que les trois
chapitres soulignés et les montants ci-dessus, donnent bien une somme totale de
vingt sept millions cinq cent soixante mille neuf cent cinquante cinq francs
(27.560.955 FCFA) qui aurait du m’être payé par mon Ex-Employeur, le
FEGECE/Conseil de l’Entente, à la date du 06 Janvier 2002.
Sixième argument :
Monsieur Le Ministre d’Etat,
Il est également urgent et important,
de noter et de relever que l’Administration Publique Nationale ou
Internationale, étant une Continuité, mes droits ci-dessus calculés, énumérés
et évoqués d’un montant total de vingt sept millions cinq cent soixante mille
neuf cent cinquante cinq francs (27.560 955 FCFA), qui aurait du être payé le
06 Janvier 2002 sans aucun intérêt, ce montant-là dis-je, doit m’être
intégralement payé, au cours de cette année 2015, avec des intérêts bancaires,
des pénalités et autres sanctions pour retard de paiement sur une période de
douze années, de préjudices, de dommages et de torts qui m’ont été causés, en
plus des humiliations et des privations qui m’ont été imposées par faute de
paiement de mes droits ci-dessus.
Septième argument :
Depuis le 12 Octobre 2012 et par
lettre écrite et déchargée au Conseil de l’Entente, J’ai régulièrement
introduit des demandes de remboursements et de paiements de mes cotisations, de
mes droits et de mes indemnités de fin de détachement.
Il est à noter que c’est par un
silence total, orgueilleux, haineux et méprisant que les nouvelles Autorités du
Conseil de l’Entente, ci-dessus nommées, me font subir !
Huitième argument :
En Janvier 2013, J’ai relancé mon
dossier de demande urgente de paiement de mes Droits ci-dessus, par deux
visites au Siège du Conseil de l’Entente, mon Ex-Employeur, ou j’ai été, à deux
reprises, bien reçu par le Comptable de ladite Institution, Monsieur DANGNI
Constant qui m’a rassuré que « Je serai payé dès que possible ».
Neuvième argument :
Enfin en Janvier 2014, Monsieur
DANGNI Constant, le Comptable du Conseil de l’Entente, m’informe que mon chèque
de paiement de mes Droits est signé et disponible mais qu’il fallait que
j’attende, quelques jours, le retour de Missions de ses Supérieures
hiérarchiques que sont Messieurs Patrice KOUAME et ISSOUFOU ISSA, pour venir
récupérer mes Droits en leurs présences.
Dixième argument :
Sans jamais m’avoir payé et remis mes Droits, Monsieur DANGNI Constant, le
Comptable du Conseil de l’Entente, meurt de manière brutale, brusque et
bizarre, après seulement m’avoir informé de l’existence des chèques qui
devraient m’être remis incessamment et ultérieurement par ses supérieurs
hiérarchiques.
Cette mort douteuse continue encore,
aujourd’hui, de hanter les esprits au Conseil de l’Entente !
Est-ce une mort naturelle ?
Est-ce un arrêt cardiaque ?
Est-ce un empoisonnement ?
Onzième argument :
Après cette mort atroce, douloureuse et douteuse de Monsieur
DANGNI Constant, Le Comptable du Conseil de L’Entente, en lieu et place de me
payer mes cotisations, indemnités, pensions et autres Droits, Messieurs Patrice
KOUAME, ISSOUFOU ISSA et René KPOMALEGNI, respectivement, Secrétaire Exécutif
du Conseil de l’Entente, Secrétaire Exécutif Adjoint et Liquidateur du
FEGECE/FEGECE, ces trois Messieurs dis-je, se sont accordés pour inventer une
fausse version de cette affaire, en invitant des dettes et en manipulant les
chiffres de la Comptabilité du Conseil de l’Entente en ma défaveur !
Douzième argument et Conclusion :
Après douze ans d’attente, d’humiliation et de
privations :
En cette année 2015 et après la mort tragique de Monsieur
DANGNI Constant, Comptable du Conseil de l’Entente, les nouvelles Autorités
refusent de me payer mes Droits de 27.560 955 CFA.
Monsieur Le Ministre d’Etat,
En plus du montant ci-dessus, je demande au Conseil de
l’Entente de me payer des pénalités de douze années de retards de paiements,
des réparations de divers dommages et divers préjudices subis, qu’il vous
plaira da qualifier et d’estimer à soixante(60) mois de mon salaire, soit une
somme de soixante seize millions cinq cent soixante treize mille cent quarante
francs (76.573 140 FCFA) :
1.276 219 FCFA/mois à multiplier par 60 mois= 76.573 140
FCFA.
En conclusion :
Monsieur Le Ministre d’Etat,
J’ai urgemment sollicité votre arbitrage pour que cette
guerre féroce de certains francs maçons contre des chrétiens ivoiriens, depuis
longtemps, prenne rapidement fin, en ce début d’année 2015…
Excellence Monsieur le Ministre d’Etat,
En ce début d’année électorale en COTE D’IVOIRE, tous les
problèmes doivent véritablement être exposés, avec audace et courage, pour que
des solutions rapides et urgentes soient trouvées.
En effet et en ce qui me concerne : Après douze années
de calvaires, de privations, de honte et
d’humiliations, je demande votre arbitrage afin que le Conseil de l’Entente me
paye la somme de Cent quatre millions cent trente quatre mille quatre vingt
quinze francs(104.134.095 FCFA) représentant mon pécule de départ, les
cotisations patronales pour ma pension retraite, mes indemnités de départ pour
fin de détachement, les pénalités de douze ans de retard de paiement, les
réparations, les dédommagements des préjudices et humiliations subis.
Par la présente, je sollicite également une audience.
Très Haute
Considération.
TANOH NIAMKE
Djohn
Diplomate,
Ecrivain,
Président de
l’ONG Chrétienne La Coreci
Téléphone :
06312823/56125040